LE JOURNAL DES ARTS. Les 5 000 bénéficiaires du Pass culture en phase d’expérimentation depuis deux mois semblent privilégier la musique et les livres. Le patrimoine est bon dernier.
« Sans le Pass culture, je n’aurais pas été voir l’exposition Vasarely », confie Idir, habitant du Raincy, en Seine-Saint-Denis. Étudiant en prépa HEC, ce jeune homme de 18 ans se voyait mal débourser 11 euros, le tarif proposé aux 18-25 ans par le Centre Pompidou. Mais il a pu s’offrir un billet en piochant dans le crédit virtuel de 500 euros mis à sa disposition par le ministère de la Culture. Comme lui, 5 000 jeunes sur les 10 000 expérimentateurs sélectionnés ont activé leur Pass culture depuis le 1er février 2019 dans cinq départements : en Seine-Saint-Denis, dans le Bas-Rhin, le Finistère, l’Hérault et la Guyane.
Destiné à « accroître » et à « diversifier les pratiques culturelles des jeunes», le Pass culture se présente sous la forme d’une application…
Lire la suite de cet article publié dans Le Journal des Arts.
Be First to Comment